Une ouverture de restaurant c’est un vrai challenge. la gestion des délais est toujours un élément compliqué à maîtriser. Ça ne se passe jamais comme on l’avait prévu mais c’est le jeu ; le chantier a du retard mais la presse a besoin de visuels. Comment concilier ces exigences contradictoires ? Et si la réponse était d’assumer l’imperfection pour en faire un atout.

Face à l’inachevé, nous avons opté pour la transparence. Cette approche a donné naissance à une séance photo improvisée. Guillaume raconte : « J’ai piqué un escabeau et trois planches aux ouvriers, on les a mis dehors devant le restaurant en travaux ». Un geste spontané pour transformer le chantier en décor. Cette décision a permis de créer des visuels originaux, qui reflètent la réalité du processus d’ouverture avec une mise en scène évocatrice du moment.
Ce parti pris atypique offre plusieurs avantages. Il génère de l’intérêt en montrant les coulisses, habituellement cachées. Il crée aussi une connexion avec le public, qui se sent impliqué dans l’aventure et suscite la curiosité.
Cette approche permet de gérer les attentes. En montrant l’état réel du chantier de leur nouveau restaurant, l’équipe d’Ambos évite les déceptions liées à des promesses irréalistes. Elle transforme les retards en une histoire assumée qui crée un lien.
Et si l’imprévu devenait le meilleur allié d’un lancement réussi ?
Pour imprononçable, Pierre et Cristina Chomet sont revenus sur l’ouverture de leur restaurant, et sur pourquoi ils ont fait appel à l’agence.