Quand la Saint-Valentin a lieu dans la ville de l’amour, Paris, elle inspire souvent des créations uniques. C’est précisément ce qui s’est produit lorsque Guillaume Czerw a posé les yeux sur la conception originale de Julien Dechenaud une rose mi pâtisserie – mi chocolat. L’idée a pris naissance rapidement : un film qui raconte une histoire d’amour, Paris en arrière-plan, une touche de glamour, et la rose comme symbole narratif central.

L’Invisible qui fait battre le cœur
Ce que le spectateur ne peut ni voir ni deviner, c’est la réalité du tournage qui se cache derrière le produit fini. Imaginez un tournage en équipe réduite, où chaque membre porte plusieurs casquettes et où l’énergie circule librement, permettant à la créativité de s’épanouir. Ajoutez à cela des figurants qui ne jouent pas seulement des amoureux à l’écran mais qui le sont également dans la vie réelle, ajoutant une couche supplémentaire d’authenticité à chaque prise.
Paris par 2 degrés : le défi à relever
Le décor, bien que magnifiquement romantique, n’était pas sans poser quelques défis. Un tournage de nuit dans Paris, la Seine scintillante, les ponts illuminés, et le charme de la ville en toile de fond mais le tout par une température avoisinant les 2°C. C’est dans ce cadre que la patience des figurants a été mise à rude épreuve. Leur patiente détermination et le plaisir de participer à un projet aussi spécial a participé à la beauté des images capturées.
Le résultat de cet effort collectif ? Un reel pour Instagram qui a dépassé les attentes au point de se frayer un chemin vers les écrans de cinéma sous forme de publicité. Un format non anticipé, mais qui témoigne de la puissance d’une histoire bien ficelée et filmée.
Pour nous la leçon est claire : c’est souvent ce qui se passe en coulisse qui fait toute la différence.